L'envie de venir au musée... et d'y revenir souvent !

[Mode Révision] 47. Visiteurs du château de Versailles

[Mode Révision] 47ème Jour
« Visiteurs de Versailles 1682-1789 » au château de Versailles

En partenariat avec le Metropolitan Museum of Art de New-York, le château de Versailles proposait – en 2017-2018 – une exposition autour de tous ces visiteurs qui sont venus à Versailles depuis le règne de Louis XIV.

Pendant la période de confinement, retrouvez le château de Versailles sur Internet.

Un jour confiné… une visite privée…

Avec plus de 7 millions de visiteurs par an, le château de Versailles figure parmi les sites historiques les plus fréquentés au monde. Cette exposition de 2017-2018 permettait de découvrir ces princes, ambassadeurs ou simples anonymes qui sont venus entre 1682 et 1789 à Versailles. Retrouvez Bertrand Rondot, conservateur en chef du patrimoine au château de Versailles, dans cette visite en 6 parties.

[1/6] Rencontrer le roi à Versailles

[2/6] L’Ambassade de Siam à Versailles

[3/6] Les Ambassades ottomanes à Versailles

[4/6] Les présents officiels

[5/6] Les fêtes de Marie-Antoinette à Trianon

[6/6] La dernière Ambassade

Exposition « Visiteurs de Versailles 1682-1789 »
22 octobre 2017 – 25 février 2018
Château de Versailles

« Louis XIV touchant les écrouelles » par Jean Jouvenet, conservé dans l’église abbatiale de Saint-Riquier
Médaille « Fama Virtutis Oratores Regis Siam » par Jean Mauger (1686) – Bibliothèque nationale de France
Buste de Goolami Saib et de Mohammed Dervisch Khan par Claude-André Deseine – Musée du Louvre

Depuis le 13 mars, le musée du Louvre a fermé ses portes jusqu’à nouvel ordre. Les autres musées français également. Cette mesure exceptionnelle vise à limiter la propagation du Coronavirus.
Un numéro vert 0 800 130 000 et une page d’informations ont été mis en place pour répondre 24h/24 et 7j/7 à toutes vos questions sur ce virus.

[Mode Révision] 46. Le sculpteur Gemito au Petit Palais

[Mode Révision] 46ème Jour
« Vincenzo Gemito (1852-1929). Le sculpteur de l’âme napolitaine » au Petit Palais (Paris)

L’histoire de Vincenzo Gemito (1852-1929) est celle d’un enfant trouvé, élevé dans les rues de Naples, qui va devenir l’un des plus grands sculpteurs de son temps, célébré aussi bien en Italie que dans toute l’Europe. En 2019-2020, le Petit Palais proposait au public français de découvrir cet artiste longtemps oublié.

Pendant la période de confinement, retrouvez le Petit Palais sur Internet.

Un jour confiné… une visite privée…

De son triomphe à l’Exposition Universelle de Paris en 1878 à son combat contre la maladie mentale, l’exposition permettait de retracer le parcours de cet artiste napolitain. Revivez notre visite privée avec Jean-Loup Champion, historien de l’art, directeur scientifique de l’exposition.

Exposition « Vincenzo Gemito (1852-1929). Le sculpteur de l’âme napolitaine »
15 octobre 2019 – 26 janvier 2020
Petit Palais – Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris

« Portrait de jeune fille » (1913-1922) par Vincenzo Gemito – Museo Del Novecento (Naples)
« Tête d’enfant ; Garçon » (1870) par Vincenzo Gemito – Museo e Real Bosco di Capodimonte (Naples)
« La Source » (1912) par Vincenzo Gemito – Collection Raffaella Ferraro (Sorrente)
Au premier plan : « Statuette de Dionysos- Narcisse » (Ier siècle) – Musée archéologique de Naples

Depuis le 13 mars, le musée du Louvre a fermé ses portes jusqu’à nouvel ordre. Les autres musées français également. Cette mesure exceptionnelle vise à limiter la propagation du Coronavirus.
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[Mode Révision] 45. Marcel Proust à la Galerie Gallimard

[Mode Révision] 45ème Jour
« Marcel Proust, Prix Goncourt 1919 » à la Galerie Gallimard (Paris)

Mercredi 10 décembre 1919. Au troisième tour de scrutin, les jurés du Prix Goncourt choisissent « À l’ombre des jeunes filles en fleurs ». À 6 voix contre 4, Marcel Proust devient le 17ème lauréat du Prix. Gaston Gallimard se précipite au domicile de l’écrivain pour lui annoncer la grande nouvelle. Marcel Proust dort… Pourtant, il tenait beaucoup à ce Prix, étant très préoccupé par la reconnaissance et soucieux de qui l’a lu et le lira.

Pendant la période de confinement, retrouvez la Galerie Gallimard sur Internet.

Un jour confiné… une visite privée…

L’an dernier, la Galerie Gallimard nous proposait de plonger dans les coulisses du Goncourt 1919 afin de découvrir l’histoire de la relation entre Marcel Proust et la NRF. Retrouvez Alban Cerisier, archiviste paléographe et commissaire de l’exposition de la Galerie Gallimard.

Exposition « Marcel Proust, Prix Goncourt 1919 »
11 septembre – 23 octobre 2019
Galerie Gallimard (Paris)

« Marcel Proust au Ritz » (1917) par Paul Morand – Bibliothèque nationale de France, département des manuscrits

Il en est ainsi pour tous les grands écrivains, la beauté de leurs phrases est imprévisible, comme est celle d’une femme qu’on ne connaît pas encore. » – Marcel Proust dans « A l’ombre des jeunes filles en fleurs » (1919)

Maquettes pour l’édition de « Du côté de chez Swann » de Marcel Proust, Gallimard (1917) – Archives Éditions Gallimard
Gaston Gallimard vers 1913 – Tirage argentique d’époque – Archives Éditions Gallimard
Détail d’un « Placard » pour l’impression d’ « À l’ombre des jeunes filles en fleurs » de Marcel Proust, joint à l’édition de luxe de 1920 – Maison de Tante-Léonie – Musée Marcel-Proust
Portrait de Marcel Proust par Jacques-Émile Blanche (1920) – Reproduction photographique – Maison de Tante-Léonie – Musée Marcel-Proust

Depuis le 13 mars, le musée du Louvre a fermé ses portes jusqu’à nouvel ordre. Les autres musées français également. Cette mesure exceptionnelle vise à limiter la propagation du Coronavirus.
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[Mode Révision] 44. L’Homme de Néandertal au musée de l’Homme

[Mode Révision] 44ème Jour
« Néandertal, l’expo » au musée de l’Homme

En 1829, un crâne d’enfant est trouvé à Engis en Belgique ; en 1848 un crâne complet à Forbe’s Quarry (Gibraltar). Toutefois, personne ne s’aventure à dire qu’il s’agit de représentants d’une autre espèce humaine et ces découvertes passent inaperçues. C’est en 1856 que Néandertal fait sa véritable entrée. Les ouvriers d’une carrière – dans la vallée (thal) de Neander, à l’est de Düsseldorf – découvrent des ossements et un fragment de crâne, ils les remettent à l’instituteur local, passionné d’histoire naturelle.

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Un jour confiné… une visite privée…

Le cerveau de Néandertal est plus gros que le nôtre, atteignant jusqu’à 1 750 cm3. Rien n’indique qu’il était moins intelligent que nous. Ses capacités cognitives lui ont permis de s’adapter et de survivre pendant près de 350.000 ans. Retrouvez Kinga Grege, scénographe de l’exposition proposée en 2018-2019 au musée de l’Homme.

Exposition « Néandertal »
28 mars 2018 – 7 janvier 2019
Musée de l’Homme (Paris)

Depuis le 13 mars, le musée du Louvre a fermé ses portes jusqu’à nouvel ordre. Les autres musées français également. Cette mesure exceptionnelle vise à limiter la propagation du Coronavirus.
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[Exposition] Les acquisitions du musée du quai Branly

Exposition « 20 ans. Les acquisitions du musée du quai Branly – Jacques Chirac »
24 septembre 2019 – 26 janvier 2020
Musée du Quai Branly (Paris)

Récemment, le musée du quai Branly proposait une exposition réunissant une sélection de près de 500 œuvres, visant à expliquer comment les choix d’acquisition s’élaborent et se décident.
Aujourd’hui, alors que l’exposition a fermé ses portes depuis plusieurs mois et que le musée est lui-même fermé dans le cadre de la crise du Coronavirus, je vous invite à découvrir ma propre sélection d’œuvres dans ce parcours très personnel au cœur de l’exposition.

Sculpture baoulé – Côte d’Ivoire (19e siècle) dans un album de photographies des objets de la collection Louis Carré (1897-1977)

Le musée du quai Branly – Jacques Chirac a ouvert ses portes en 2006, il a aujourd’hui 14 ans. Alors pourquoi l’exposition fait-elle référence à ses « 20 ans » dans son titre ?
En fait, le musée existe depuis 1998, bien avant son ouverture aux visiteurs. Pendant la construction du bâtiment, les équipes travaillaient à trier, photographier et reconditionner les œuvres des collections héritées du musée de l’Homme et du musée national des Arts d’Afrique et d’Océanie.
En parallèle, le musée a développé sa propre politique d’acquisition, ouvrant de nouvelles directions d’enrichissement.

Un musée n’est pas seulement l’héritage poussiéreux d’une collection, nonobstant tous les amateurs de poussière et d’œuvres oubliées, il est une formidable promesse de regards neufs, « de réveil de mémoire endormie » selon la belle expression de Mataliwan Kuliyaman, Amérindien Wayana, de combinaisons de savoirs renouvelés, d’agencements esthétiques imprévus que la sensibilité du siècle recrée. » – Yves Le Fur, directeur du département du patrimoine et des collections du musée du quai Branly

Cuillers « arisa » en noix de coco et chaux – Papouasie-Nouvelle-Guinée (début du 20e siècle)

Les acquisitions en chiffres

Le musée conserve à ce jour 382.538 œuvres inscrites à l’inventaire.
En vingt ans, les acquisitions représentent 78.010 objets, sans compter les archives et documents iconographiques. Près de 60 % sont des dons.

Les acquisitions du musée […] font du patrimoine un organisme vivant, qui marche et qui respire avec son temps. » – Stéphane Martin, Président musée du quai Branly–Jacques Chirac

Statue en bois, métal et matériaux organiques – Nigéria (19e siècle)

1ère partie : Grands axes d’enrichissement

La première partie de l’exposition présente les axes de la politique d’acquisition du musée, qui poursuivent ou complètent les héritages reçus de ses prédécesseurs.

De gauche à droite : statuette d’une reine – Côte d’Ivoire (19e siècle), coupe divinatoire « agere ifa » – Nigeria (milieu du 19e siècle) et statuette « asie usu » – Côte d’Ivoire (19e siècle)
Statuettes « ibeji » – Nigeria, culture Yoruba (19e siècle)

Vous trouverez toujours le lait nourricier dans les arts primitifs. » – Paul Gauguin

Tirage sur papier albuminé, gouache et plumes représentant un groupe de trois femmes par Augustin Péraire (actif dans les années 1860)
Gravure sur papier représentant « Deux Carolins dansant (Îles Carolines) » (1824-1844) d’après Jacques Arago (1790-1855)

« Kaoutoy Lerry, Black Beach, Tanna, Vanuatu » – Aquarelle et graphite sur papier (vers 1849) par Richard Aldworth Oliver (1811-1889)
« Temple vu depuis une rivière » (1948-1959) et « Temple dans la forêt » (1952) – Asie du sud-est – Fusain et sanguine sur papier par André Maire (1898-1984)
Détail de « Temple dans la forêt » (1952) – Asie du sud-est – André Maire (1898-1984)
« Portrait d’un homme tshokwe » – Angola (1938) – Fusain sur papier par José Redinha (1905-1983)
« Jeune homme de Fais (Ouest Carolines) tatoué (Îles Carolines) » (1935) par Paul Jacoulet (1896-1960)
Spatule vomitive utilisée par les chamanes et caciques amérindiens des Grandes Antilles
Diadème « aheto » – Para, Brésil (1960-1972)
Textiles et parures des collections du musée du quai Branly
Bijoux, parures et costumes des collections du musée du quai Branly
Bijoux, parures et costumes des collections du musée du quai Branly
Étoffe d’écorce battue – Îles Tonga (fin du 20e siècle)

2ème partie : De l’héritage au contemporain

La deuxième partie de l’exposition explore les résonances entre les enjeux historiques et contemporains au sein des collections du musée du quai Branly. L’histoire des dominations, dans le contexte de l’esclavage puis de la colonisation, et les regards antagonistes qu’elle a générés sont ici abordés.

« Allers-retours » (2009) – Œuvres réalisées dans le cadre des Résidences photographiques du musée du quai Branly par Sammy Baloji (né en 1978)
Masques « Atujuwa » mâle (à gauche) et femelle (à droite) – Mato Grosso, Brésil (2005) et massue – Brésil (début du 21e siècle)
Volume tatoué (2018) Encre sur silicone par Filip Leu (né en 1967)

Esclavage et colonisation

L’esclavage et la colonisation exercés par les États européens se sont appuyés sur une conception hiérarchique des « races ». Des représentations caricaturales d’une partie de l’humanité ont ainsi été largement diffusées en Europe et aux États-Unis. Dans le même temps, des images plus soucieuses d’exactitude, se sont attachées à restituer le portrait d’individus plutôt que de types humains.

« Portrait d’un homme » (19e siècle) par un artiste anonyme

La présence de modèles noirs dans les ateliers des peintres européens s’affirme à partir du 18e siècle. Sur le portrait ci-dessus, le modèle pourrait être un Haïtien qui travaillait à Paris dans une troupe d’acrobates et qui posa, entre autres, pour Théodore Géricault et sa toile représentant le naufrage de « La Méduse » au large des côtes africaines en 1816.

« Am I not a Man and a Brother ? » (1850) – Matrice à impression sur bois par un artiste anonyme

Le motif d’esclave enchaîné et suppliant (ci-dessus) est apparu dans les années 1780 en Angleterre. Il a traversé toute l’histoire de l’abolitionnisme. Le slogan « Ne suis-je pas ton frère ? » a été reproduit sur des supports variés : gravures, écharpes, éventails, faïences, médaillons… Cette image fortement symbolique a continué d’être utilisée au 20e siècle, notamment dans la lutte contre l’Apartheid en Afrique du Sud.

« Guerrier sakalava » – Madagascar (1901) – Aquarelle sur coton par James Rainimaharosoa (1860-1926)
« Intérieur d’un navire négrier » (vers 1830) – Lithographie sur papier d’après W.H. Handley

3ème partie : Œuvres phares des collections

La troisième grande partie de l’exposition met en scène les pièces les plus importantes acquises au cours des 20 dernières années. Plus de cinquante pièces sont présentées.

Masque cérémoniel « kegginaqut » en bois, plumes et pigments – Alaska (début du 20e siècle)
Statue féminine – Culture Attié, Côte d’Ivoire (19e siècle)
Homme oiseau « moai tangata manu » – Île de Pâques, Chili (17e-19e siècle)
Pierre verte sculptée de la culture Teotihuacán – Mexique (200-550)
Pendentif de la culture Tairona – Colombie (1000-1500)
Crochet « samban » – Moyen Sepik, Papouasie-Nouvelle-Guinée (19e siècle)
Sculpture masculine « bulul » – Province d’Ifugao, Philippines (15e siècle)
Sculpture attribuée au « Maître de la maternité rouge » – Mali (14e siècle) (à gauche) et statue masculine – République démocratique du Congo (19e siècle) (à droite)
Statuette féminine de la culture Chupícuaro – Mexique (600 avant J.-C. – 200 après J.-C.)

Toutes les photographies par @scribeaccroupi.

« Deux Amérindiens en pirogue » – Brésil (vers 1860) – Huile sur toile par François-Auguste Biard (1799-1882)

En savoir +

Page spéciale sur le site Internet du Musée du Quai Branly.

C’est un musée bâti autour d’une collection. Où tout est fait pour provoquer l’éclosion de l’émotion portée par l’objet premier ; où tout est fait, à la fois pour le protéger de la lumière et pour capter le rare rayon de soleil indispensable à la vibration, à l’installation des spiritualités […] Peu importent les moyens … Seul le résultat compte. » – Jean Nouvel

Pendant la période de confinement, retrouvez le musée du Quai Branly sur Internet.

Exposition « 20 ans. Les acquisitions du musée du quai Branly – Jacques Chirac »
24 septembre 2019 – 26 janvier 2020
Musée du Quai Branly
37, quai Branly
75007 Paris

[Mode Révision] 42. Magiques licornes au musée de Cluny

[Mode Révision] 42ème Jour
« Magiques licornes » au musée de Cluny

Après 135 jours de fermeture pour travaux – au musée de Cluny, on parlait alors d’une simple « éclipse » – le musée national du Moyen Âge avait rouvert partiellement ses portes en 2018. Un nouveau bâtiment d’accueil, venait s’ajouter à ceux déjà présents sur le site, depuis les thermes antiques, l’hôtel médiéval jusqu’aux ajouts du XIXe siècle.

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Un jour confiné… une visite privée…

En 2018-2019, le musée de Cluny proposait une petite exposition temporaire dédiée aux licornes, symboles de chasteté et d’innocence, créatures dont la corne était réputée détecter les poisons et purifier les liquides. L’occasion de revoir les les six tapisseries de « La Dame à la licorne », tissées vers 1500. Retrouvez Béatrice de Chancel-Bardelot, conservateur général au musée de Cluny, pour découvrir quelques chefs-d’œuvre du musée, ainsi que l’exposition consacrée aux « Magiques licornes ».

Exposition « Magiques licornes »
14 juillet 2018 – 25 février 2019
Musée de Cluny

« Le livre du saint voyage vers Jérusalem* de Bernhard von Breydenbach et Erhard Reuwich (1504) – Bibliothèque nationale de France
« Dits moraux pour faire tapisserie* par Henri Baude, vers 1490-1515 (?) – Bibliothèque nationale de France

Depuis le 13 mars, le musée du Louvre a fermé ses portes jusqu’à nouvel ordre. Les autres musées français également. Cette mesure exceptionnelle vise à limiter la propagation du Coronavirus.
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[Mode Révision] 41. Peindre l’âme de la Pologne au Louvre-Lens

[Mode Révision] 41ème Jour
« Pologne 1840-1918. Peindre l’âme d’une nation » au musée du Louvre-Lens

L’année 2019 a marqué le centenaire de la signature de la convention entre la France et la Pologne « relative à l’émigration et à l’immigration » qui a entraîné l’arrivée de nombreux travailleurs polonais dans le bassin minier du nord du pays. L’an dernier, à l’occasion de cet anniversaire, le Louvre-Lens proposait une exposition retraçant un moment particulier de l’histoire de la culture polonaise au cours duquel, de 1840 à 1918, le pays était divisé entre l’Empire russe, l’Empire autrichien et le Royaume de Prusse.

Pendant la période de confinement, retrouvez le Louvre-Lens sur Internet.

Retrouvez Luc Piralla, directeur adjoint du musée du Louvre-Lens et commissaire de l’exposition, parmi les trésors prêtés par les musées nationaux polonais et plusieurs collections particulières.

Exposition « Pologne 1840-1918. Peindre l’âme d’une nation »
25 septembre 2019 – 20 janvier 2020
Musée du Louvre-Lens
99 Rue Paul Bert
62300 Lens

« Stańczyk (1480-1560) » par Jan Matejko (1838-1893) – Musée national de Varsovie
« Jeune paysanne de Bronowice » (1893-1894) par Aleksander Gierymski (1850-1901) – Musée national de Cracovie
Détail de « Cercueil paysan (Truman chloasma) » (1894-1895) par Aleksander Gierymski – Musée national de Varsovie
« Juif en prière » (1893) par Aleksander Grodzicki (1869-1893) – Musée national de Varsovie
« Paysan de Bronowice » (1893-1894) par Aleksander Gierymski (1850-1901) – Musée national de Cracovie
« Mélancolie » (1890-1894) par Jack Malczewski (1854-1929) – Fondation Raczyński du Musée national de Poznań 

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[Mode Révision] 40. La collection Tessin au Louvre

[Mode Révision] 40ème Jour
« Un Suédois à Paris au 18e siècle. La collection Tessin » au musée du Louvre

Ambassadeur de Suède à Paris entre 1739 et 1742, le comte Carl Gustaf Tessin fut un acteur majeur du marché de l’art parisien. Ruiné par ses achats d’œuvres anciennes et contemporaines, mais surtout par sa charge de diplomate, il dut se résoudre à vendre une grande partie de sa collection de peintures et de dessins à la famille royale suédoise.

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Un jour confiné… une visite privée…

En 2016-2017, le Louvre présentait une sélection de près de 120 œuvres issus de cette collection suédoise, dont une trentaine de peintures et 75 dessins, ainsi que des sculptures et objets d’art. Retrouvez Guillaume Faroult, conservateur en chef au musée du Louvre, pour une visite privée de l’exposition.

Exposition « Un Suédois à Paris au 18e siècle. La collection Tessin »
20 octobre 2016 – 16 janvier 2017
Musée du Louvre

Détail de « Baigneuses dans un parc » (vers 1725-1729) par Jean-Baptiste Pater (1695-1736) – Nationalmuseum de Stockholm
Détail de « Les Adieux de Vénus et Adonis » (1729) par François Lemoyne (1688-1737) – Nationalmuseum de Stockholm
« La Naissance de Vénus » (1740) par François Boucher (1703-1770) – Nationalmuseum de Stockholm
À gauche : « L’Attache du patin » (vers 1741) par Nicolas Lancret (1690-1743) – Nationalmuseum de Stockholm
« Léda et le cygne » (1742) par François Boucher (1703-1770) – Nationalmuseum de Stockholm
« Étude de deux hommes nus » ou « Groupe académique de deux hommes sur des blocs » (vers 1735) par Jean Restout (1692-1768) – Nationalmuseum de Stockholm
« Lovisa Ulrika Sparre, comtesse Tessin » (1741) par Jean-Marc Nattier (1685-1766) – Nationalmuseum de Stockholm

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[Mode Révision] 39. La Fabrique du luxe au musée Cognacq-Jay

[Mode Révision] 39ème Jour
« La Fabrique du luxe : les marchands merciers parisiens au XVIIIe siècle » au musée Cognacq-Jay (Paris)

À la fois négociant, importateur, collecteur, designer et décorateur, le marchand mercier occupe un rôle central dans l’essor de l’industrie du luxe au XVIIIe siècle. Il s’appuie sur un réseau international d’artistes comprenant les meilleures spécialités techniques et artistiques en provenance aussi bien de Lyon que de Chine.

Pendant la période de confinement, retrouvez le musée Cognacq-Jay sur Internet.

Un jour confiné… une visite privée…

En 2018-2019, le musée Cognacq-Jay proposait une immersion au cœur de « La Fabrique du luxe ». Retrouvez Rose-Marie Herda-Mousseaux, qui était alors la directrice du musée Cognacq-Jay, et partez à la rencontre de ces « vendeurs de tout, faiseurs de riens » selon Diderot.

Exposition « La Fabrique du luxe : les marchands merciers parisiens au XVIIIe siècle »
29 septembre 2018 – 27 janvier 2019
Musée Cognacq-Jay
8 Rue Elzevir
75003 Paris

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[Louvre] « Figure d’artiste » dans la Petite Galerie

Dans son infinie bonté, le maître du Ciel tourna ses regards cléments sur la terre et (…) il se résolut à envoyer sur terre un esprit également apte à tous les arts et à toutes les disciplines, démontrant à lui seul où est la perfection de l’art du dessin pour les lignes, les contours, les ombres et les lumières, l’effet du relief en peinture, les opérations judicieuses en sculpture et la production en architecture de demeures commodes et solides… » – Giorgio Vasari à propos de Michel-Ange

Exposition « Figure d’artiste »
25 septembre 2019 – 29 juin 2020 (dates avant confinement)
Petite Galerie du Louvre

Avant le « Grand Confinement », j’ai visité pour vous l’exposition proposée par le Louvre pour la 5ème saison de sa Petite Galerie. Né de la volonté de rendre le musée plus accessible au public qui souhaite apprendre à regarder les chefs-d’œuvre, cet espace d’exposition développe chaque année un thème de l’histoire de l’art.
Pour la saison 2019-2020, la Petite Galerie s’attache à la « Figure d’artiste » avec une sélection resserrée de 36 œuvres, illustrant les premières signatures d’artisans dans l’Antiquité jusqu’aux autoportraits des temps modernes.

« Vénus accroupie » (1686) par Antoine Coysevox (1640-1720) – Musée du Louvre

Les signatures

Les Grecs et les Romains confondaient dans un même terme l’ « artiste » et l’ « artisan », « tekhnitès » en grec et « artifex » en latin. il faudra attendre la Renaissance pour que l’artisan soit considéré comme un créateur à part entière. Pourtant, dès l’Antiquité, certains de ces professionnels sortirent de l’anonymat, comme l’indiquent des objets portant leurs noms inscrits ou gravés. Progressivement, avec la naissance d’un marché de l’art, la signature permit à ces artisans de valoriser leurs créations.

Stèle du chef des artisans, scribe et sculpteur Irtysen (règne de Montouhotep II, 2033-1982 avant J.-C.) – Musée du Louvre
Monument offert au dieu Bès – Chypre (750-600 avant J.-C.) – Musée du Louvre
Détail du monument offert au dieu Bès portant une inscription en phénicien, sans doute la plus ancienne « signature » d’un artiste : Eschmounillec, « sculpteur pour son seigneur » – Musée du Louvre
Fragment de coupe représentant Artémis, déesse grecque de la chasse, avec la signature du potier Nicosthénès (actif vers 550-510 avant J.-C.) – Musée du Louvre

 

Autoportraits

À la Renaissance, architectes, sculpteurs et peintres cherchent à s’émanciper de leur statut d’artisan. Les peintres, cultivent le genre de l’autoportrait, se représentant à l’égal des princes.

Autoportrait (vers 1452) par Jean Fouquet (1420-1478 ?) – Musée du Louvre
« Portrait de l’artiste au chevalet » (1660) par Rembrandt (1606-1669) – Musée du Louvre

La lumière est rare; elle tombe d’en haut. Je sens un homme fatigué, las et peut-être incompris. […] Il me suffit de passer un moment en face de cet autoportrait pour mettre en veilleuse ma propre tristesse. » – Tahar Ben Jelloun dans « Plongée dans la mémoire du temps » (Télérama – 1997)

Autoportrait (1702) d’Antoine Coysevox (1640-1720) – Musée du Louvre
« Portrait de Charles Le Brun (1619-1690), premier peintre du roi » (1679) par Antoine Coysevox (1640-1720) – Musée du Louvre
« Portrait de l’artiste dit « au gilet vert » » (vers 1837) par Eugène Delacroix (1798-1863) – Musée du Louvre

À mon avis, le portrait qu’Albrecht Dürer fit de lui-même en 1493 à l’âge de vingt-deux ans, est inestimable […] tout est dessiné de manière excellente, minutieuse et parfait ; harmonieux dans les détails ; d’une exécution excellente, absolument digne de Dürer, même si la couche de couleur qui est très légère s’est accumulée en quelques points. » – Goethe dans « Tag- und Jahres-Heft » (1805)

Vies d’artistes

Dans la Grèce des Ve et IVe siècles avant J.-C., les peintres et sculpteurs ont acquis reconnaissance et prestige. L’histoire de l’art naissante témoigne du goût pour l’attribution d’œuvres à des artistes connus.

« Zeuxis assis, vu de profil droit, dessinant » (vers 1519) par Domenico Beccafumi (1486-1551)

Au cours du Ier siècle, Pline l’Ancien reprend cette tradition dans son « Histoire naturelle ». Plusieurs siècles plus tard, le peintre et historien de l’art Giorgio Vasari (1511-1574) publie les « Vies des plus excellents architectes, peintres et sculpteurs ».

« Les Attributs de la Peinture, de la Sculpture et de l’Architecture » (1769) par Anne Vallayer-Coster (1744-1818) – Musée du Louvre
« Michel-Ange aveugle allant au Capitole toucher le Torse du Belvédère » (vers 1822) d’après Évariste Fragonard (1780-1850)

Avec Vasari, les Vies des artistes de la Renaissance deviennent des modèles à méditer et à imiter. Il présente les qualités dont l’artiste doit faire montre dans sa vie sociale, et prodigue ses conseils sur la manière de pratiquer l’activité artistique, célébrant les vertus du travail.

« Portrait de l’artiste » (1746) par Luis Eugenio Meléndez (1716-1780) – Musée du Louvre
« La Paix ramenant l’Abondance » (1780) par Élisabeth Louise Vigée Le Brun (1755-1842) – Musée du Louvre
« Portrait d’une femme noire, Madeleine » (Salon de 1800) par Marie-Guillemine Benoist (1768-1826) – Musée du Louvre

La provocation était de taille, car pour ce portrait d’une ancienne esclave, la femme peintre appelait l’exemple de Raphaël à la rescousse. La pose dénudée, la main sous le sein, le long bras au premier plan, le turban sont une variation sur la « Fornarina », femme du peuple, élevée par le génie de Raphaël au rang d’icône de la beauté éternelle. » – Sébastien Allard dans le catalogue de l’exposition « Portraits publics, portraits privés, 1770-1830 »

L’Académie et le Salon

En France, l’Académie royale de peinture et de sculpture, fondée en 1648, est placée sous la protection de Louis XIV. Au XVIIIe siècle, elle a son siège au Louvre, où sont conservées ses collections, notamment de portraits et d’autoportraits d’académiciens.

« Le Salon carré en 1861 » par Giuseppe Castiglione (1829-1908) – Musée du Louvre

Dès le XVIIe siècle, l’Académie organise des expositions d’œuvres de ses membres. Ouvertes au public, elles se tiennent régulièrement de 1737 à 1848 dans le Salon carré du Louvre, d’où leur nom de « Salons ». Vivant Denon, directeur du Louvre, sera président du jury pendant toute la première partie du XIXe siècle. En 2020, c’est dans cet espace d’exposition que les œuvres de Pierre Soulages ont été présentées pour le 100ème anniversaire de la naissance de l’artiste.

En 1793, l’Académie royale est remplacée par l’Académie des beaux-arts, dont l’influence est progressivement contestée au cours du XIXe siècle. Le Salon perdure jusqu’au XIXe siècle et s’ouvre à tous les artistes. Les artistes « Refusés », toujours plus nombreux, contestent sa suprématie, jusqu’à obtenir du pouvoir l’ouverture du Salon des Refusés en 1863.

« Quatre heures, au Salon », dit aussi « Fermeture du Louvre » (Salon de 1847) par François Biard (1799-1882) – Musée du Louvre

En savoir +

Sur le site internet dédié à la Petite Galerie

« Portrait de Michel-Ange âgé de 47 ans » (vers 1522) attribué à Baccio Bandinelli (1493-1560) – Musée du Louvre

Son génie fut reconnu dès son vivant (…). Cela n’arrive qu’aux hommes d’un mérite grandiose comme le sien, où la conjugaison des trois arts créait l’état de perfection, que Dieu n’a accordé, durant les siècles de l’Antiquité comme dans les modernes, à nul autre que lui. » – Michel-Ange par Giorgio Vasra dans « Vies des plus grands peintres, sculpteurs et architectes italiens » (1550)

La thématique de la « Figure d’artiste », a également été abordée fin 2019 par le Palais des Beaux-Arts de Lille dans le cadre de l’exposition « Le rêve d’être artiste ».

Détail du groupe de Vénus et Cupidon par par sculpteur anonyme du IIe siècle – Musée du Louvre

Toutes les photographies par @scribeaccroupi.

Sources :
– dossier de presse de l’exposition
– « Promenades au Louvre » (2010) par Jean Galard – Éditions Robert Laffont

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[Mode Révision] 38. Florence et l’Islam à la Galerie des Offices et au musée du Bargello

[Mode Révision] 38ème Jour
« Florence et l’Islam. Art et collectionnisme des Médicis au Novecento » à la Galerie des Offices et au musée du Bargello

L’attrait et l’intérêt de Florence pour le monde islamique est ancien. En témoignent les carnets de marchands florentins qui, pendant leur pèlerinage en Terre Sainte en 1384, visitèrent aussi le Caire et Damas. Les relations entre Florence et le monde musulman se sont intensifiées sous le règne de la famille Médicis : la ville importait des tapis, des épices et de la soie, de la céramique et des objets en métal, exportant ses textiles vers le monde musulman.

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Un jour confiné… une visite privée…

En 2018, la Galerie des Offices et le Musée du Bargello proposaient une exposition consacrée aux rapports de la Ville de Florence avec le monde islamique ; l’occasion de découvrir le rôle majeur joué par le collectionneur lyonnais Louis Carrand qui légua les 3.300 objets d’Art à la ville de Florence. Retrouvez le Professeur Giovanni Curatola, éminent spécialiste des Arts de l’Islam et commissaire de l’exposition. Un vrai passionné qui, à coup sûr, va vous captiver !

Exposition « Florence et l’Islam. Art et collectionnisme des Médicis au Novecento »
Galerie des Offices et Musée du Bargello
22 juin – 23 septembre 2018

Depuis le 13 mars, le musée du Louvre a fermé ses portes jusqu’à nouvel ordre. Les autres musées français également. Cette mesure exceptionnelle vise à limiter la propagation du Coronavirus.
Un numéro vert 0 800 130 000 et une page d’informations ont été mis en place pour répondre 24h/24 et 7j/7 à toutes vos questions sur ce virus.

[Mode Révision] 37. Centenaire Rodin au Grand Palais

[Mode Révision] 37ème Jour
Centenaire Rodin au Grand Palais (Paris)

Auguste Rodin (1840-1917) est considéré comme le père de la sculpture moderne. En 2017, à l’occasion du centenaire de sa mort , le Grand Palais proposait une exposition de ses plus grands chefs-d’oeuvre, confrontés à ceux d’artistes contemporains.

Pendant la période de confinement, retrouvez le Grand Palais sur Internet.

Un jour confiné… une visite privée…

Entre scandales et coups d’éclat, Rodin révolutionne la création artistique avant Braque, Picasso ou Matisse, et la fait à jamais basculer dans la modernité. Retrouvez Hélène Pinet, chef du service de la recherche du musée Rodin. pour une visite privée de l’exposition de 2017 au Grand Palais.

https://www.youtube.com/watch?v=POErmVOMDTg

Exposition « Rodin. L’exposition du centenaire »
22 mars – 31 juillet 2017
Grand Palais (Paris)

Depuis le 13 mars, le musée du Louvre a fermé ses portes jusqu’à nouvel ordre. Les autres musées français également. Cette mesure exceptionnelle vise à limiter la propagation du Coronavirus.
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[Mode Révision] 36 – Aventuriers des mers à l’Institut du Monde Arabe

[Mode Révision] 36ème Jour
« Aventuriers des mers. De Sindbad à Marco Polo » à l’Institut du Monde Arabe (Paris)

De l’Empire perse aux conquêtes d’Alexandre le Grand, de l’expansion de l’islam aux explorations chinoises, portugaises et hollandaises, c’est entre Méditerranée et dans l’océan Indien que se sont déroulées les grandes aventures maritimes fondatrices du monde d’aujourd’hui. En 2016-2017, l’exposition « Aventuriers des mers » contait ces fabuleuses aventures.

Pendant la période de confinement, retrouvez l’Institut du Monde Arabe sur Internet.

Un jour confiné… une visite privée…

Les plus fameux des témoins-voyageurs vous emmènent à la croisée de l’or d’Afrique et de l’argent d’Occident, des monnaies grecques et des verreries de Venise, des soieries et des épices venues de Chine. Retrouvez Agnès Carayon, commissaire de l’exposition à l’Institut du Monde Arabe.

Exposition « Aventuriers des mers. De Sindbad à Marco Polo »
15 novembre 2016 – 26 février 2017
Institut du Monde Arabe (Paris)

Depuis le 13 mars, le musée du Louvre a fermé ses portes jusqu’à nouvel ordre. Les autres musées français également. Cette mesure exceptionnelle vise à limiter la propagation du Coronavirus.
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[Mode Révision] 35. Henri II au musée d’Archéologie nationale

[Mode Révision] 35ème Jour
« Henri II. Renaissance à Saint-Germain-en-Laye » au musée d’Archéologie nationale

Dans la mémoire collective, le souvenir du roi Henri II a notamment pâti de la notoriété de certaines personnalités qui lui sont liées : son père François Ier, sa femme Catherine de Médicis ou encore sa maîtresse, Diane de Poitiers.

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Un jour confiné… une visite privée…

Fils et successeur du roi François Ier, époux de Catherine de Médicis, Henri II était mis à l’honneur en 2019 par le musée d’Archéologie nationale à l’occasion du 500ème anniversaire de sa naissance. Dès son accession au trône, le roi fit savoir qu’il désirait « demeurer aud. Saint-Germain, à cause qu’il y a esté nourry, outre la commodité de l’air et du chasteau ». Suivez Étienne Faisant, docteur en histoire de l’art et commissaire scientifique de l’exposition.

Exposition « Henri II. Renaissance à Saint-Germain-en-Laye »
31 mars – 14 juillet 2019
Musée d’Archéologie nationale
Place Charles de Gaulle
78100 Saint-Germain-en-Laye

Depuis le 13 mars, le musée du Louvre a fermé ses portes jusqu’à nouvel ordre. Les autres musées français également. Cette mesure exceptionnelle vise à limiter la propagation du Coronavirus.
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