L'envie de venir au musée... et d'y revenir souvent !

[Mode Révision] 41. Peindre l’âme de la Pologne au Louvre-Lens

[Mode Révision] 41ème Jour
« Pologne 1840-1918. Peindre l’âme d’une nation » au musée du Louvre-Lens

L’année 2019 a marqué le centenaire de la signature de la convention entre la France et la Pologne « relative à l’émigration et à l’immigration » qui a entraîné l’arrivée de nombreux travailleurs polonais dans le bassin minier du nord du pays. L’an dernier, à l’occasion de cet anniversaire, le Louvre-Lens proposait une exposition retraçant un moment particulier de l’histoire de la culture polonaise au cours duquel, de 1840 à 1918, le pays était divisé entre l’Empire russe, l’Empire autrichien et le Royaume de Prusse.

Pendant la période de confinement, retrouvez le Louvre-Lens sur Internet.

Retrouvez Luc Piralla, directeur adjoint du musée du Louvre-Lens et commissaire de l’exposition, parmi les trésors prêtés par les musées nationaux polonais et plusieurs collections particulières.

Exposition « Pologne 1840-1918. Peindre l’âme d’une nation »
25 septembre 2019 – 20 janvier 2020
Musée du Louvre-Lens
99 Rue Paul Bert
62300 Lens

« Stańczyk (1480-1560) » par Jan Matejko (1838-1893) – Musée national de Varsovie
« Jeune paysanne de Bronowice » (1893-1894) par Aleksander Gierymski (1850-1901) – Musée national de Cracovie
Détail de « Cercueil paysan (Truman chloasma) » (1894-1895) par Aleksander Gierymski – Musée national de Varsovie
« Juif en prière » (1893) par Aleksander Grodzicki (1869-1893) – Musée national de Varsovie
« Paysan de Bronowice » (1893-1894) par Aleksander Gierymski (1850-1901) – Musée national de Cracovie
« Mélancolie » (1890-1894) par Jack Malczewski (1854-1929) – Fondation Raczyński du Musée national de Poznań 

Depuis le 13 mars, le musée du Louvre a fermé ses portes jusqu’à nouvel ordre. Les autres musées français également. Cette mesure exceptionnelle vise à limiter la propagation du Coronavirus.
Un numéro vert 0 800 130 000 et une page d’informations ont été mis en place pour répondre 24h/24 et 7j/7 à toutes vos questions sur ce virus.

[Mode Révision] 40. La collection Tessin au Louvre

[Mode Révision] 40ème Jour
« Un Suédois à Paris au 18e siècle. La collection Tessin » au musée du Louvre

Ambassadeur de Suède à Paris entre 1739 et 1742, le comte Carl Gustaf Tessin fut un acteur majeur du marché de l’art parisien. Ruiné par ses achats d’œuvres anciennes et contemporaines, mais surtout par sa charge de diplomate, il dut se résoudre à vendre une grande partie de sa collection de peintures et de dessins à la famille royale suédoise.

Pendant la période de confinement, retrouvez le musée du Louvre sur Internet.

Un jour confiné… une visite privée…

En 2016-2017, le Louvre présentait une sélection de près de 120 œuvres issus de cette collection suédoise, dont une trentaine de peintures et 75 dessins, ainsi que des sculptures et objets d’art. Retrouvez Guillaume Faroult, conservateur en chef au musée du Louvre, pour une visite privée de l’exposition.

Exposition « Un Suédois à Paris au 18e siècle. La collection Tessin »
20 octobre 2016 – 16 janvier 2017
Musée du Louvre

Détail de « Baigneuses dans un parc » (vers 1725-1729) par Jean-Baptiste Pater (1695-1736) – Nationalmuseum de Stockholm
Détail de « Les Adieux de Vénus et Adonis » (1729) par François Lemoyne (1688-1737) – Nationalmuseum de Stockholm
« La Naissance de Vénus » (1740) par François Boucher (1703-1770) – Nationalmuseum de Stockholm
À gauche : « L’Attache du patin » (vers 1741) par Nicolas Lancret (1690-1743) – Nationalmuseum de Stockholm
« Léda et le cygne » (1742) par François Boucher (1703-1770) – Nationalmuseum de Stockholm
« Étude de deux hommes nus » ou « Groupe académique de deux hommes sur des blocs » (vers 1735) par Jean Restout (1692-1768) – Nationalmuseum de Stockholm
« Lovisa Ulrika Sparre, comtesse Tessin » (1741) par Jean-Marc Nattier (1685-1766) – Nationalmuseum de Stockholm

Depuis le 13 mars, le musée du Louvre a fermé ses portes jusqu’à nouvel ordre. Les autres musées français également. Cette mesure exceptionnelle vise à limiter la propagation du Coronavirus.
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[Mode Révision] 39. La Fabrique du luxe au musée Cognacq-Jay

[Mode Révision] 39ème Jour
« La Fabrique du luxe : les marchands merciers parisiens au XVIIIe siècle » au musée Cognacq-Jay (Paris)

À la fois négociant, importateur, collecteur, designer et décorateur, le marchand mercier occupe un rôle central dans l’essor de l’industrie du luxe au XVIIIe siècle. Il s’appuie sur un réseau international d’artistes comprenant les meilleures spécialités techniques et artistiques en provenance aussi bien de Lyon que de Chine.

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Un jour confiné… une visite privée…

En 2018-2019, le musée Cognacq-Jay proposait une immersion au cœur de « La Fabrique du luxe ». Retrouvez Rose-Marie Herda-Mousseaux, qui était alors la directrice du musée Cognacq-Jay, et partez à la rencontre de ces « vendeurs de tout, faiseurs de riens » selon Diderot.

Exposition « La Fabrique du luxe : les marchands merciers parisiens au XVIIIe siècle »
29 septembre 2018 – 27 janvier 2019
Musée Cognacq-Jay
8 Rue Elzevir
75003 Paris

Depuis le 13 mars, le musée du Louvre a fermé ses portes jusqu’à nouvel ordre. Les autres musées français également. Cette mesure exceptionnelle vise à limiter la propagation du Coronavirus.
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[Louvre] « Figure d’artiste » dans la Petite Galerie

Dans son infinie bonté, le maître du Ciel tourna ses regards cléments sur la terre et (…) il se résolut à envoyer sur terre un esprit également apte à tous les arts et à toutes les disciplines, démontrant à lui seul où est la perfection de l’art du dessin pour les lignes, les contours, les ombres et les lumières, l’effet du relief en peinture, les opérations judicieuses en sculpture et la production en architecture de demeures commodes et solides… » – Giorgio Vasari à propos de Michel-Ange

Exposition « Figure d’artiste »
25 septembre 2019 – 29 juin 2020 (dates avant confinement)
Petite Galerie du Louvre

Avant le « Grand Confinement », j’ai visité pour vous l’exposition proposée par le Louvre pour la 5ème saison de sa Petite Galerie. Né de la volonté de rendre le musée plus accessible au public qui souhaite apprendre à regarder les chefs-d’œuvre, cet espace d’exposition développe chaque année un thème de l’histoire de l’art.
Pour la saison 2019-2020, la Petite Galerie s’attache à la « Figure d’artiste » avec une sélection resserrée de 36 œuvres, illustrant les premières signatures d’artisans dans l’Antiquité jusqu’aux autoportraits des temps modernes.

« Vénus accroupie » (1686) par Antoine Coysevox (1640-1720) – Musée du Louvre

Les signatures

Les Grecs et les Romains confondaient dans un même terme l’ « artiste » et l’ « artisan », « tekhnitès » en grec et « artifex » en latin. il faudra attendre la Renaissance pour que l’artisan soit considéré comme un créateur à part entière. Pourtant, dès l’Antiquité, certains de ces professionnels sortirent de l’anonymat, comme l’indiquent des objets portant leurs noms inscrits ou gravés. Progressivement, avec la naissance d’un marché de l’art, la signature permit à ces artisans de valoriser leurs créations.

Stèle du chef des artisans, scribe et sculpteur Irtysen (règne de Montouhotep II, 2033-1982 avant J.-C.) – Musée du Louvre
Monument offert au dieu Bès – Chypre (750-600 avant J.-C.) – Musée du Louvre
Détail du monument offert au dieu Bès portant une inscription en phénicien, sans doute la plus ancienne « signature » d’un artiste : Eschmounillec, « sculpteur pour son seigneur » – Musée du Louvre
Fragment de coupe représentant Artémis, déesse grecque de la chasse, avec la signature du potier Nicosthénès (actif vers 550-510 avant J.-C.) – Musée du Louvre

 

Autoportraits

À la Renaissance, architectes, sculpteurs et peintres cherchent à s’émanciper de leur statut d’artisan. Les peintres, cultivent le genre de l’autoportrait, se représentant à l’égal des princes.

Autoportrait (vers 1452) par Jean Fouquet (1420-1478 ?) – Musée du Louvre
« Portrait de l’artiste au chevalet » (1660) par Rembrandt (1606-1669) – Musée du Louvre

La lumière est rare; elle tombe d’en haut. Je sens un homme fatigué, las et peut-être incompris. […] Il me suffit de passer un moment en face de cet autoportrait pour mettre en veilleuse ma propre tristesse. » – Tahar Ben Jelloun dans « Plongée dans la mémoire du temps » (Télérama – 1997)

Autoportrait (1702) d’Antoine Coysevox (1640-1720) – Musée du Louvre
« Portrait de Charles Le Brun (1619-1690), premier peintre du roi » (1679) par Antoine Coysevox (1640-1720) – Musée du Louvre
« Portrait de l’artiste dit « au gilet vert » » (vers 1837) par Eugène Delacroix (1798-1863) – Musée du Louvre

À mon avis, le portrait qu’Albrecht Dürer fit de lui-même en 1493 à l’âge de vingt-deux ans, est inestimable […] tout est dessiné de manière excellente, minutieuse et parfait ; harmonieux dans les détails ; d’une exécution excellente, absolument digne de Dürer, même si la couche de couleur qui est très légère s’est accumulée en quelques points. » – Goethe dans « Tag- und Jahres-Heft » (1805)

Vies d’artistes

Dans la Grèce des Ve et IVe siècles avant J.-C., les peintres et sculpteurs ont acquis reconnaissance et prestige. L’histoire de l’art naissante témoigne du goût pour l’attribution d’œuvres à des artistes connus.

« Zeuxis assis, vu de profil droit, dessinant » (vers 1519) par Domenico Beccafumi (1486-1551)

Au cours du Ier siècle, Pline l’Ancien reprend cette tradition dans son « Histoire naturelle ». Plusieurs siècles plus tard, le peintre et historien de l’art Giorgio Vasari (1511-1574) publie les « Vies des plus excellents architectes, peintres et sculpteurs ».

« Les Attributs de la Peinture, de la Sculpture et de l’Architecture » (1769) par Anne Vallayer-Coster (1744-1818) – Musée du Louvre
« Michel-Ange aveugle allant au Capitole toucher le Torse du Belvédère » (vers 1822) d’après Évariste Fragonard (1780-1850)

Avec Vasari, les Vies des artistes de la Renaissance deviennent des modèles à méditer et à imiter. Il présente les qualités dont l’artiste doit faire montre dans sa vie sociale, et prodigue ses conseils sur la manière de pratiquer l’activité artistique, célébrant les vertus du travail.

« Portrait de l’artiste » (1746) par Luis Eugenio Meléndez (1716-1780) – Musée du Louvre
« La Paix ramenant l’Abondance » (1780) par Élisabeth Louise Vigée Le Brun (1755-1842) – Musée du Louvre
« Portrait d’une femme noire, Madeleine » (Salon de 1800) par Marie-Guillemine Benoist (1768-1826) – Musée du Louvre

La provocation était de taille, car pour ce portrait d’une ancienne esclave, la femme peintre appelait l’exemple de Raphaël à la rescousse. La pose dénudée, la main sous le sein, le long bras au premier plan, le turban sont une variation sur la « Fornarina », femme du peuple, élevée par le génie de Raphaël au rang d’icône de la beauté éternelle. » – Sébastien Allard dans le catalogue de l’exposition « Portraits publics, portraits privés, 1770-1830 »

L’Académie et le Salon

En France, l’Académie royale de peinture et de sculpture, fondée en 1648, est placée sous la protection de Louis XIV. Au XVIIIe siècle, elle a son siège au Louvre, où sont conservées ses collections, notamment de portraits et d’autoportraits d’académiciens.

« Le Salon carré en 1861 » par Giuseppe Castiglione (1829-1908) – Musée du Louvre

Dès le XVIIe siècle, l’Académie organise des expositions d’œuvres de ses membres. Ouvertes au public, elles se tiennent régulièrement de 1737 à 1848 dans le Salon carré du Louvre, d’où leur nom de « Salons ». Vivant Denon, directeur du Louvre, sera président du jury pendant toute la première partie du XIXe siècle. En 2020, c’est dans cet espace d’exposition que les œuvres de Pierre Soulages ont été présentées pour le 100ème anniversaire de la naissance de l’artiste.

En 1793, l’Académie royale est remplacée par l’Académie des beaux-arts, dont l’influence est progressivement contestée au cours du XIXe siècle. Le Salon perdure jusqu’au XIXe siècle et s’ouvre à tous les artistes. Les artistes « Refusés », toujours plus nombreux, contestent sa suprématie, jusqu’à obtenir du pouvoir l’ouverture du Salon des Refusés en 1863.

« Quatre heures, au Salon », dit aussi « Fermeture du Louvre » (Salon de 1847) par François Biard (1799-1882) – Musée du Louvre

En savoir +

Sur le site internet dédié à la Petite Galerie

« Portrait de Michel-Ange âgé de 47 ans » (vers 1522) attribué à Baccio Bandinelli (1493-1560) – Musée du Louvre

Son génie fut reconnu dès son vivant (…). Cela n’arrive qu’aux hommes d’un mérite grandiose comme le sien, où la conjugaison des trois arts créait l’état de perfection, que Dieu n’a accordé, durant les siècles de l’Antiquité comme dans les modernes, à nul autre que lui. » – Michel-Ange par Giorgio Vasra dans « Vies des plus grands peintres, sculpteurs et architectes italiens » (1550)

La thématique de la « Figure d’artiste », a également été abordée fin 2019 par le Palais des Beaux-Arts de Lille dans le cadre de l’exposition « Le rêve d’être artiste ».

Détail du groupe de Vénus et Cupidon par par sculpteur anonyme du IIe siècle – Musée du Louvre

Toutes les photographies par @scribeaccroupi.

Sources :
– dossier de presse de l’exposition
– « Promenades au Louvre » (2010) par Jean Galard – Éditions Robert Laffont

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[Mode Révision] 38. Florence et l’Islam à la Galerie des Offices et au musée du Bargello

[Mode Révision] 38ème Jour
« Florence et l’Islam. Art et collectionnisme des Médicis au Novecento » à la Galerie des Offices et au musée du Bargello

L’attrait et l’intérêt de Florence pour le monde islamique est ancien. En témoignent les carnets de marchands florentins qui, pendant leur pèlerinage en Terre Sainte en 1384, visitèrent aussi le Caire et Damas. Les relations entre Florence et le monde musulman se sont intensifiées sous le règne de la famille Médicis : la ville importait des tapis, des épices et de la soie, de la céramique et des objets en métal, exportant ses textiles vers le monde musulman.

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Un jour confiné… une visite privée…

En 2018, la Galerie des Offices et le Musée du Bargello proposaient une exposition consacrée aux rapports de la Ville de Florence avec le monde islamique ; l’occasion de découvrir le rôle majeur joué par le collectionneur lyonnais Louis Carrand qui légua les 3.300 objets d’Art à la ville de Florence. Retrouvez le Professeur Giovanni Curatola, éminent spécialiste des Arts de l’Islam et commissaire de l’exposition. Un vrai passionné qui, à coup sûr, va vous captiver !

Exposition « Florence et l’Islam. Art et collectionnisme des Médicis au Novecento »
Galerie des Offices et Musée du Bargello
22 juin – 23 septembre 2018

Depuis le 13 mars, le musée du Louvre a fermé ses portes jusqu’à nouvel ordre. Les autres musées français également. Cette mesure exceptionnelle vise à limiter la propagation du Coronavirus.
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[Mode Révision] 37. Centenaire Rodin au Grand Palais

[Mode Révision] 37ème Jour
Centenaire Rodin au Grand Palais (Paris)

Auguste Rodin (1840-1917) est considéré comme le père de la sculpture moderne. En 2017, à l’occasion du centenaire de sa mort , le Grand Palais proposait une exposition de ses plus grands chefs-d’oeuvre, confrontés à ceux d’artistes contemporains.

Pendant la période de confinement, retrouvez le Grand Palais sur Internet.

Un jour confiné… une visite privée…

Entre scandales et coups d’éclat, Rodin révolutionne la création artistique avant Braque, Picasso ou Matisse, et la fait à jamais basculer dans la modernité. Retrouvez Hélène Pinet, chef du service de la recherche du musée Rodin. pour une visite privée de l’exposition de 2017 au Grand Palais.

https://www.youtube.com/watch?v=POErmVOMDTg

Exposition « Rodin. L’exposition du centenaire »
22 mars – 31 juillet 2017
Grand Palais (Paris)

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[Mode Révision] 36 – Aventuriers des mers à l’Institut du Monde Arabe

[Mode Révision] 36ème Jour
« Aventuriers des mers. De Sindbad à Marco Polo » à l’Institut du Monde Arabe (Paris)

De l’Empire perse aux conquêtes d’Alexandre le Grand, de l’expansion de l’islam aux explorations chinoises, portugaises et hollandaises, c’est entre Méditerranée et dans l’océan Indien que se sont déroulées les grandes aventures maritimes fondatrices du monde d’aujourd’hui. En 2016-2017, l’exposition « Aventuriers des mers » contait ces fabuleuses aventures.

Pendant la période de confinement, retrouvez l’Institut du Monde Arabe sur Internet.

Un jour confiné… une visite privée…

Les plus fameux des témoins-voyageurs vous emmènent à la croisée de l’or d’Afrique et de l’argent d’Occident, des monnaies grecques et des verreries de Venise, des soieries et des épices venues de Chine. Retrouvez Agnès Carayon, commissaire de l’exposition à l’Institut du Monde Arabe.

Exposition « Aventuriers des mers. De Sindbad à Marco Polo »
15 novembre 2016 – 26 février 2017
Institut du Monde Arabe (Paris)

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[Mode Révision] 35. Henri II au musée d’Archéologie nationale

[Mode Révision] 35ème Jour
« Henri II. Renaissance à Saint-Germain-en-Laye » au musée d’Archéologie nationale

Dans la mémoire collective, le souvenir du roi Henri II a notamment pâti de la notoriété de certaines personnalités qui lui sont liées : son père François Ier, sa femme Catherine de Médicis ou encore sa maîtresse, Diane de Poitiers.

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Un jour confiné… une visite privée…

Fils et successeur du roi François Ier, époux de Catherine de Médicis, Henri II était mis à l’honneur en 2019 par le musée d’Archéologie nationale à l’occasion du 500ème anniversaire de sa naissance. Dès son accession au trône, le roi fit savoir qu’il désirait « demeurer aud. Saint-Germain, à cause qu’il y a esté nourry, outre la commodité de l’air et du chasteau ». Suivez Étienne Faisant, docteur en histoire de l’art et commissaire scientifique de l’exposition.

Exposition « Henri II. Renaissance à Saint-Germain-en-Laye »
31 mars – 14 juillet 2019
Musée d’Archéologie nationale
Place Charles de Gaulle
78100 Saint-Germain-en-Laye

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[Mode Révision] 34. L’amour au Louvre-Lens

[Mode Révision] 34ème Jour
« Amour » au musée du Louvre-Lens

Peintures de Fragonard ou Delacroix, sculptures de Rodin ou Canova, statues d’Égypte ou de la Rome antique : l’exposition proposée en 2018-2019 par le Louvre-Lens invitait à découvrir une histoire des relations amoureuses, depuis Adam et Eve jusqu’à la quête de liberté au 20e siècle.

Pendant la période de confinement, retrouvez le Louvre-Lens sur Internet.

L’exposition permettait de montrer de quelle façon, partant d’une stigmatisation du féminin, chaque époque a réhabilité successivement la femme, l’amour, la relation, le plaisir et le sentiment, pour aboutir à l’invention de l’amour libre. Retrouvez Zeev Gourarier, directeur scientifique et des collections du Mucem et commissaire de l’exposition, parmi les 7 chapitres de cette histoire d’amour.

Exposition « Amour »
26 septembre 2018 ‐ 21 janvier 2019
Musée du Louvre-Lens

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[Mode Révision] 33. Les royaumes oubliés au Louvre

[Mode Révision] 33ème Jour
« Royaumes oubliés, de l’Empire hittite aux Araméens » au musée du Louvre

L’empire hittite, grande puissance rivale de l’Égypte antique, domina l’Anatolie et étendit son influence sur le Levant, jusqu’aux alentours de 1.200 avant J.-C. Sa chute donna lieu à l’émergence de royaumes néo-hittites et araméens dans les territoires de la Turquie et la Syrie modernes. Pour cette exposition, présentée en 2019 au Louvre, le Pergamon Museum de Berlin avait notamment prêté des sculptures découvertes par Max von Oppenheim.

Pendant la période de confinement, retrouvez le musée du Louvre sur Internet.

Un jour confiné… une visite privée…

Au début des années 2000, un travail de reconstitution et de remontage des sculptures, très endommagées pendant la seconde guerre mondiale, commence à partir de plus de 27.000 fragments. Ce travail titanesque prendra dix années. Retrouvez Vincent Blanchard, conservateur au département des Antiquités Orientales du musée du Louvre, pour une visite exclusive de l’exposition, à la redécouverte des sites mythiques de ces royaumes oubliés.

Exposition « Royaumes oubliés, de l’Empire hittite aux Araméens »
Musée du Louvre
2 mai – 12 août 2019

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[Mode Révision] 32. La légende napoléonienne au musée des Beaux-Arts d’Arras

[Mode Révision] 32ème Jour
« Napoléon, images de la légende » au musée des Beaux-Arts d’Arras

En 2017-2018, la ville d’Arras proposait une grande exposition, dans le cadre d’un partenariat avec le château de Versailles, sur les images de la légende napoléonienne. Voici donc une occasion, pour les collégiens et lycéens, de réviser les images de leurs livres d’Histoire !

Pendant la période de confinement, retrouvez le musée des Beaux-Arts d’Arras sur Internet.

Un jour confiné… une visite privée…

L’exposition débutait par une présentation de la jeunesse de Napoléon Bonaparte, né à Ajaccio le 15 août 1769, fils cadet d’une famille originaire de Toscane. En 1778, Napoléon intègre le collège militaire de Brienne. Pour cette visite en 3 parties, retrouvez Frédéric Lacaille, conservateur en charge des peintures du XIXe siècle au château de Versailles.

1ère partie : Bonaparte et la conquête du pouvoir

2ème partie : Empereur des français

3ème partie : L’Empire en difficultés

Exposition « Napoléon, images de la légende »
7 octobre 2017 – 4 novembre 2018
Musée des Beaux-Arts d’Arras

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[Mode Révision] 31. Les salons littéraires du Paris Romantique

[Mode Révision] 31ème Jour
« Paris Romantique 1815-1848 : les salons littéraires » au musée de la Vie Romantique (Paris)

Situé dans le quartier de la « Nouvelle Athènes », l’hôtel Scheffer-Renan abrite le musée de la Vie Romantique de la Ville de Paris. En 2019, grâce à plus d’une centaine d’œuvres, le musée proposait de découvrir l’univers des salons littéraires entre 1815 et 1848.

Pendant la période de confinement, retrouvez le musée de la Vie Romantique sur Internet.

Un jour confiné… une visite privée…

Au cours de la première moitié du XIXe siècle, les plus grands noms de la littérature – parmi lesquels Charles Baudelaire, Victor Hugo, Alfred de Musset, Théophile Gautier – se réunissent dans des salons en compagnie d’autres artistes pour échanger sur leurs créations. Cliquez sur l’image ci-dessous pour revoir la visite privée avec Gaëlle Rio, directrice du musée de la Vie Romantique et commissaire de l’exposition.

Exposition « Paris Romantique 1815-1848 : les salons littéraires »
Musée de la Vie Romantique (Paris)
22 mai – 15 septembre 2019

Détail de « François-Guillaume Andrieux faisant la lecture de sa tragédie « Junius Brutus » » par François Joseph Heim (1787-1865) – Musée national des châteaux de Versailles et de Trianon
« Le Salon de M. Irisson, le soir du 19 août 1839 » par Prosper Lafaye (1806–1883) – Musée Carnavalet, Histoire de Paris
Détail de « Le Salon de M. Irisson, le soir du 19 août 1839 » par Prosper Lafaye (1806–1883) – Musée Carnavalet, Histoire de Paris

Quelques disciples saints, les soirs, dans le cénacle/Se rassemblaient, et là parlaient du grand miracle. » – Charles-Augustin Sainte-Beuve

« Salon de madame Récamier à l’Abbaye-aux-Bois » (1826) par François Louis Hardy de Juinne dit Dejuinne – Musée du Louvre
« L’artiste et son frère Achille » (1836) par Eugène Devéria (1805-1865) – Musée national des châteaux de Versailles et de Trianon
« Portrait de Delphine Gay, madame Émile de Girardin » (1824) par Louis Hersent (1777- 1860) – Musée national des châteaux de Versailles et Trianon

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[Mode Révision] 30. Paris Romantique au Petit Palais

[Mode Révision] 30ème Jour
« Paris Romantique 1815-1848 » au Petit Palais (Paris)

Les Salons des années 1820 virent l’émergence du romantisme en peinture, avec la présentation des œuvres de Géricault (« Le Radeau de la Méduse » en 1819) et de Delacroix (« La Barque de Dante » en 1822). Accroupi et confiné pour la 30e journée consécutive, le Scribe reste en [Mode Révision] et vous propose de redécouvrir une grande exposition immersive dans le « Paris Romantique » des années 1815-1848.

Pendant la période de confinement, retrouvez le Petit Palais sur Internet.

Un jour confiné… une visite privée…

Le parcours de l’exposition, proposée en 2019 par le musée des Beaux-Arts de la ville de Paris, invitait à une promenade dans les quartiers de la capitale, à la découverte de l’effervescence artistique de l’époque ; l’occasion de croiser la duchesse de Berry, Victor Hugo, George Sand, Eugène Delacroix, Hector Berlioz, mais aussi les dandys et les parisiennes les plus chics.
Je vous invite à retrouver Christophe Leribault, directeur du Petit Palais, pour une visite privée exceptionnelle.

Exposition « Paris Romantique 1815-1848 »
22 mai – 15 septembre 2019
Petit Palais (Paris)

Depuis le 13 mars, le musée du Louvre a fermé ses portes jusqu’à nouvel ordre. Les autres musées français également. Cette mesure exceptionnelle vise à limiter la propagation du Coronavirus.
Un numéro vert 0 800 130 000 et une page d’informations ont été mis en place pour répondre 24h/24 et 7j/7 à toutes vos questions sur ce virus.

[Mode Révision] 29. Les sites éternels du patrimoine au Grand Palais

[Mode Révision] 29ème Jour
« Sites éternels. De Bâmiyân à Palmyre, voyage au cœur des sites du patrimoine universel » au Grand Palais (Paris)

En 2016-2017, plusieurs sites du patrimoine universel étaient la cible de pillages et de destructions au Proche-Orient. Afin de sensibiliser le public, le Grand Palais proposait, en partenariat avec le musée du Louvre, une exposition mettant en valeur ces trésors inestimables.

Pendant la période de confinement, retrouvez le Grand Palais sur Internet.

Un jour confiné… une visite privée…

L’exposition du Grand Palais proposait une immersion au cœur de quatre grands sites archéologiques en danger : l’ancienne capitale du roi Sargon à Khorsabad en Irak, le site de Palmyre, le Krak des Chevaliers et la Grande Mosquée des Omeyyades à Damas, en Syrie. Retrouvez Marielle Pic, directrice des antiquités orientales, et Yannick Lintz, directrice des arts de l’Islam au Louvre, partageant les enjeux de l’exposition et présentant certaines œuvres du Louvre.

Exposition « Sites éternels. De Bâmiyân à Palmyre, voyage au cœur des sites du patrimoine universel »
Grand Palais (Paris)
14 décembre 2016 – 9 janvier 2017

Depuis le 13 mars, le musée du Louvre a fermé ses portes jusqu’à nouvel ordre. Les autres musées français également. Cette mesure exceptionnelle vise à limiter la propagation du Coronavirus.
Un numéro vert 0 800 130 000 et une page d’informations ont été mis en place pour répondre 24h/24 et 7j/7 à toutes vos questions sur ce virus.