L'envie de venir au musée... et d'y revenir souvent !

[Visite privée] Le musée des Beaux-Arts de Dijon en 5 chefs-d’œuvre

Dans quelques semaines, les visiteurs pourront découvrir le musée des Beaux-Arts de Dijon entièrement rénové et métamorphosé après plus de de dix ans de travaux.
Sans attendre, je vous propose de suivre Justine Job, médiatrice culturelle du musée, à la découverte de 5 chefs-d’œuvre incontournables…. pour patienter jusqu’au 17 mai !

Réouverture le 17 mai 2019

Des œuvres emblématiques, tels les retables de Champmol, ont pu être restaurées sur place au musée. D’autres l’ont été depuis les réserves, dans les ateliers du C2RMF ou celui de restaurateurs indépendants.

Avec près de 130.000 œuvres conservées, couvrant une large période de l’Antiquité à l’époque contemporain, le musée des Beaux-Arts de Dijon rassemble l’une des collections des plus riches des musées français : portraits funéraires du Fayoum, tombeaux des ducs de Bourgogne, peintures du Titien, Véronèse, Monet, Manet…

Dans cette autre vidéo, découvrez les coulisses de la rénovation du musée.

Cliquer sur l’image ci-dessous.

Musée des Beaux-Arts de Dijon
1 Rue Rameau
21000 Dijon

[Visite privée] Dans les coulisses de la rénovation du musée des Beaux-Arts de Dijon

Depuis plus de dix ans, un impressionnant chantier de rénovation est mené au musée des Beaux-Arts de Dijon. Resté ouvert au public jusqu’à fin 2018, il a fermé ses portes pour la période du 1er janvier au 16 mai 2019 ; seule la salle des tombeaux reste accessible jusqu’à la réouverture.

Réouverture le 17 mai 2019

Dans quelques semaines, les visiteurs pourront découvrir ce « nouveau » musée des Beaux-Arts de Dijon, un musée entièrement métamorphosé. Sans attendre, je vous invite à découvrir les coulisses de ce grand chantier de rénovation avec Sandrine Balan, responsable du pôle Valorisation des collections.

Le musée des Beaux-Arts de Dijon a ouvert ses portes au public en 1799.  N’occupant qu’une partie du Palais des Ducs et des États de Bourgogne, il s’est progressivement étendu à l’intérieur du bâtiment jusqu’à occuper toute la partie orientale du palais.

Le projet de rénovation mis en œuvre actuellement va permettre d’augmenter la surface d’exposition des œuvres, qui passera de 3.500 m² à plus de 4.200 m², avec une muséographie entièrement repensée.

L’ouverture du musée sur la ville est l’un des enjeux majeurs de sa rénovation, avec des fenêtres dégagées permettant d’admirer les vues sur le cœur historique de Dijon et de se repérer dans ce bâtiment complexe.

Dans la 2ème partie du reportage, découvrez 5 chefs-d’œuvre du musée des Beaux-Arts de Dijon.

Cliquer sur l’image ci-dessous.

Musée des Beaux-Arts de Dijon
1 Rue Rameau
21000 Dijon

[2019] Vous avez reçu [1] message pour le nouvel an…

Bonne et heureuse année – culturelle – 2019 !

Merci à toutes et tous pour votre fidélité !

Quel sera notre programme de visites en 2019 ?

Voici la bande-annonce pour une visite qui nous conduira au château de Versailles !

Nous découvrirons aussi un impressionnant chantier de restauration au Palais des Beaux-Arts de Lille...

Je vous ferai découvrir les coulisses de la rénovation du musée des Beaux-Arts de Dijon

… et je vous réserve d’autres – très belles – surprises !

L’envie de venir au musée… et d’y revenir souvent !

[Bilan 2018] Top 5 des vidéos de ma chaîne YouTube

En 2018, j’ai diffusé 85 vidéos sur ma chaîne YouTube : visites privées avec les commissaires d’expositions, présentations de chefs-d’œuvre, reportages et interviews avec des historiens…

Quelles sont les 5 vidéos YouTube qui ont rencontré le plus de succès ?

Voici le Top 5 !

5ème place : « Throne » de Kohei Nawa sous la pyramide du Louvre

4ème place : Exposition Néandertal au musée de l’Homme

3ème place : L’Empire des roses au Louvre-Lens

2ème place : Delacroix au Louvre, visite avec les commissaires

1ère place : Neige sur le Louvre et les Tuileries

Les visites vont se poursuivre en 2019 ! (*)

Vivement la nouvelle année !

 

(*) un indice sur l’une de nos prochaines visites avec cette photographie… 😉

[Bilan 2018] Quels ont été les articles les plus lus sur mon Blog ?

Voici venu le moment de dresser le bilan de l’année 2018.

De Florence à Paris en passant par Lille, Lens, Lyon, Marseille, Nîmes…
De la culture de l’encens à l’empire des roses…
Des magiques licornes aux meubles à secrets…
Des toiles de Jean-François Millet aux photographies d’Helmar Lerski…
De l’homme de Néandertal à Louis-Philippe..

Nous avons visité des expositions, musées, châteaux ; nous avons rencontré des conservateurs, des historiens…

Quels sont les articles qui ont été les plus lus en 2018 sur mon Blog ?
Voici le trio de tête.

3ème place : L’Ambassade de Siam au château de Versailles

Du 22 octobre 2017 au 25 février 2018, le château de Versailles a présenté l’exposition « Visiteurs de Versailles 1682-1789 » en partenariat avec le Metropolitan Museum of Art de New-York. Dans cette vidéo extraite de notre web-série, Bertrand Rondot, conservateur en chef du patrimoine, évoquait le faste des cérémonies lors de la visite des ambassadeurs venus de l’actuelle Thaïlande.  > lire l’article

2ème place : Madagascar au musée du Quai Branly

Du 18 septembre 2018 au 1er janvier 2019, l’exposition « Madagascar. Arts de la Grande Île » présente la création artistique malgache avec près de 360 œuvres des 19ème et 20ème siècles. Découverte de l’exposition en images.  > lire l’article

1ère place : Le Trésor de Preslav au musée du Louvre

A l’occasion de la présidence du Conseil de l’Union européenne assurée de janvier à juin 2018 par la Bulgarie, le musée du Louvre a accueilli une exposition consacrée au trésor mis au jour en 1978 aux abords de la capitale du premier royaume bulgare, converti au christianisme en 864.  > lire l’article

Rendez-vous en 2019 sur mon Blog pour toujours plus de découvertes !

[Visite privée] Louis-Philippe à Fontainebleau

Exposition « Louis-Philippe à Fontainebleau. Le roi et l’histoire »
3 novembre 2018 – 4 février 2019
Château de Fontainebleau

Monté sur le trône en 1830, Louis-Philippe se passionne très vite pour le château de Fontainebleau où il séjourne plus de 50 fois au cours de ses 18 années de règne.
Avec plus de 200 œuvres, l’exposition présente les fastes de la vie de cour à Fontainebleau sous la Monarchie de Juillet, les transformations du château ainsi que la maison de famille du roi.
Suivez Oriane Beaufils, conservatrice du patrimoine, à la découverte des transformations opérées sous le règne de Louis-Philippe au château de Fontainebleau pour en faire une résidence à la fois confortable, moderne… et prestigieuse !

Sobre, serein, paisible, patient, bonhomme et bon prince », description donnée du roi Louis-Philippe par Victor Hugo

Exposition « Louis-Philippe à Fontainebleau. Le roi et l’histoire »
3 novembre 2018 – 4 février 2019
Château de Fontainebleau
Place du Général de Gaulle
77300 Fontainebleau

[Visite privée] Meubles à secrets, secrets de meubles à Malmaison

Exposition « Meubles à secrets, secrets de meubles »
17 novembre 2018 – 18 février 2019
Musée national du château de Malmaison

Au château de Malmaison, les meubles révèlent leurs cachettes secrètes et leurs secrets de fabrication. Secrétaires, coffres à bijoux, bureaux… les œuvres exposées, compagnons de la vie quotidienne de Napoléon et Joséphine, dévoilent certains de leurs mystères grâce à un dispositif multimédia permettant de voir les différentes parties mobiles.
Suivez Isabelle Tamisier-Vétois, conservateur en chef du patrimoine au musée national du château de Malmaison.

Conservateur en chef du patrimoine, chargée des arts décoratifs au musée national des châteaux de Malmaison et Bois-Préau, Isabelle Tamisier-Vétois a été co-commissaire de l’exposition « Cap sur l’Amérique, la dernière utopie de Napoléon » en 2015.

Dans notre heureuse organisation sociale, le simple ouvrier, lorsqu’il est doué d’une vaste intelligence, d’une inflexible probité, d’une force de volonté inébranlable, peut, en honorant son pays, parvenir à une grande fortune et s’acquérir l’estime et la considération de ses concitoyens, tel fut Biennais. » – Extrait de l’éloge funèbre (1843) par Alphonse Taillandier

Le général Bonaparte, à son retour d’Égypte, voulut monter sa maison. Il ne possédait encore d’autre fortune que sa gloire ; aussi, les négociants auxquels il s’adressa d’abord refusèrent de lui vendre à crédit. Biennais eut plus de confiance dans l’étoile du jeune général, et il lui fit des fournitures considérables sans s’occuper de l’époque où elles lui seraient remboursées. Napoléon fut reconnaissant de cette marque de confiance, et, devenu empereur, il prit Biennais pour son orfèvre. » – Extrait de l’éloge funèbre (1843) par Alphonse Taillandier

Musée national du château de Malmaison
Avenue du château de Malmaison
92500 Rueil-Malmaison

[Visite chantée] Alphonse Mucha au musée du Luxembourg

Exposition Alphonse Mucha
12 septembre 2018 – 27 janvier 2019
Musée du Luxembourg

Alphonse Mucha (1860-1939) est le représentant le plus populaire de l’Art Nouveau. En 1894, sa rencontre avec la grande tragédienne Sarah Bernhardt lance sa carrière d’affichiste. Il réalise pour elle l’affiche de la pièce de théâtre « Gismonda », première d’une longue série.
Jusqu’au 27 janvier 2019, le musée du Luxembourg propose la première rétrospective parisienne consacrée à l’artiste depuis celle du Grand Palais en 1980.

Découvrez l’exposition avec Grégoire Ichou, ténor et conférencier.

Je préfère être un illustrateur populaire qu’un défenseur de l’art pour l’art. » – Alphonse Mucha

La mission de l’art est d’exprimer les valeurs esthétiques de chaque nation conformément à la beauté de son âme. La mission de l’artiste est d’enseigner au peuple à aimer cette beauté. »- Alphonse Mucha

L’art est l’expression de sentiments intérieurs […] d’un besoin spirituel. »- Alphonse Mucha

Musée du Luxembourg
19, rue Vaugirard
75006 Paris

En savoir +

Suivez l’actualité de Grégoire Ichou sur Twitter et sur son site Internet : gregoireichou.com

[Visite privée] Un rêve d’Italie, la collection Campana au Louvre

Exposition « Un rêve d’Italie. La collection du marquis Campana »
Musée du Louvre
7 novembre 2018 – 18 février 2019

Le sarcophage des Époux, la « Bataille de San Romano » de Paolo Uccello et la Vénus d’Anzio sont autant de chefs-d’œuvre ayant appartenu à la collection du marquis Campana.
Constituée pour l’essentiel entre les années 1830 et les années 1850, cette collection exceptionnelle a été saisie au terme d’un procès retentissant au cours duquel Giampietro Campana a été accusé de détournement de fonds. Vendue par l’État pontifical, la collection a été dispersée à travers l’Europe.

Suivez Françoise Gaultier et Laurent Haumesser du Musée du Louvre et découvrez cette réunion exceptionnelle, le temps d’une exposition, des principaux chefs-d’œuvre de la collection.

Françoise Gaultier est conservateur général du Patrimoine, directeur du département des Antiquités grecques, étrusques et romaines au Musée du Louvre. Laurent Haumesser est conservateur au sein du même département.

La curieuse collection de tableaux italiens […] a été, à mon gré, jugée superficiellement, et, pour la plus grande partie, condamnée par des personnes qui ne se seront pas suffisamment rendu compte de son importance relative et des lumières qu’elle donne sur les origines et les progrès dans les écoles italiennes. Cette instruction, qui ne pouvait jusqu’à ce jour se trouver nulle part à Paris, résulte de la juxtaposition des tableaux et des comparaisons qui en ressortaient naturellement. » – Eugène Delacroix en 1862 à propos de la collection de peintures du marquis Campana

Une part importante de la collection Campana a été achetée par le tsar Alexandre II pour enrichir les collections du musée de l’Ermitage. Le reste de la collection – plus de 10.000 objets – a été acheté par Napoléon III et partagé entre le musée du Louvre et de nombreux musées de province.

En savoir +

Podcasts de l’exposition sur le site du Musée du Louvre
Article sur l’historique de la collection Campana sur le site du Musée du Petit Palais d’Avignon

Exposition « Un rêve d’Italie. La collection du marquis Campana »
Musée du Louvre
7 novembre 2018 – 18 février 2019

L’exposition sera présentée au Musée de l’Ermitage du 19 juillet au 20 octobre 2019. Elle devrait être également présentée aux Musées du Capitole à Rome au printemps 2019.

[Chef-d’œuvre] Le sarcophage des Époux de Cerveteri

Sarcophage des Époux de Cerveteri
Vers 520 – 510 av. J.-C.
Musée du Louvre

Ce sarcophage a été découvert à Cerveteri en 1845 au cours des fouilles réalisées par le marquis Campana sur le site d’une cité antique célèbre pour ses sculptures en argile. Les défunts sont représentés à demi étendus sur un lit dans l’attitude de banqueteurs, l’homme passant le bras autour de l’épaule de la femme. Comme les Grecs, les Étrusques avaient pour habitude de festoyer couchés.

Laurent Haumesser, conservateur au sein du département des Antiquités grecques, étrusques et romaines au musée du Louvre, nous présente ce chef-d’œuvre de l’art étrusque.

Considéré comme sarcophage (« mangeur de chair » en grec) en raison de ses dimensions, sa fonction demeure cependant incertaine. Il pourrait plutôt s’agir d’une grande urne destinée à contenir les cendres des défunts.

En savoir +

Lire l’article sur les circonstances de la découverte de ce sarcophage dans la revue « Anabases » de l’Université de Toulouse-Jean Jaurès

Exposition « Un rêve d’Italie. La collection du marquis Campana »
Musée du Louvre
7 novembre 2018 – 18 février 2019

Le sarcophage des Époux est présenté jusqu’au 18 février 2019 dans le cadre de la nouvelle exposition temporaire du Louvre consacrée au personnage romanesque du marquis Campana.

[Entretien] L’index de l’empereur Constantin a retrouvé sa main

Depuis 1863, le musée du Louvre conserve un doigt en bronze doré, d’une longueur 38 cm, provenant de la collection Campana. En juin 2018, le musée annonçait que cet index appartenait, en fait, à la main de la statue colossale de l’empereur Constantin (vers 330 après J.-C.), conservée dans les musées du Capitole à Rome !

Ce doigt était-il caché au fond des réserves du Louvre ?
Restera-t-il accroché à la main de l’empereur et rejoindra-t-il les musées capitolins ?

Laurent Haumesser, conservateur au sein du département des Antiquités grecques, étrusques et romaines au musée du Louvre, nous raconte cette incroyable découverte.

Cette main, c’est sans doute la plus belle histoire de l’exposition… en tout cas la plus étonnante et – peut-être – la plus inattendue. » – Laurent Haumesser, commissaire de l’exposition Campana

Cette découverte a été réalisée dans le cadre du projet de recherche sur la technique de fabrication des grands bronzes antiques mené par le musée du Louvre et le Centre de recherche et de restauration des musées de France (C2RMF).
Le rapprochement résulte de l’intuition d’une doctorante, Aurélia Azéma, et s’appuie sur l’analyse de la composition de l’alliage et sur l’étude des techniques de fabrication.
En mai 2018, Françoise Gaultier, directrice du département des Antiquités grecques, étrusques et romaines, et les chercheurs du Louvre et du C2RMF ont pu vérifier, à l’aide d’une reproduction en résine du doigt, qu’il s’adaptait parfaitement à la main.

Dans le cadre de l’exposition « Un rêve d’Italie. La collection du marquis Campana » présentée au Louvre, la main et le doigt de l’empereur sont enfin réunis, pour la première fois depuis sans doute le Moyen Âge.

Exposition « Un rêve d’Italie. La collection du marquis Campana »
Musée du Louvre
7 novembre 2018 – 18 février 2019

Le musée du Louvre étudie actuellement la possibilité d’un dépôt qui permettrait de présenter, après l’exposition parisienne, la main complétée au musée du Capitole.

[Entretien] Maurice Sartre raconte le rêve de puissance de Cléopâtre

Tout le monde le sait : Cléopâtre s’est suicidée. Mais savez-vous comment la version « officielle » de la morsure du serpent s’est imposée ? Au-delà des anecdotes sur sa vie et ses amours, quel était le projet politique de cette grande reine, victime de la propagande d’Octave et du machisme des auteurs antiques ?

Maurice Sartre est un grand historien, spécialiste du Proche-Orient.
Dans cet entretien exclusif, il raconte avec passion et érudition le rêve de puissance de Cléopâtre, sortant des sentiers battus et des fausses certitudes qui émaillent les nombreux ouvrages précédemment publiés.

Je crois que personne ne peut dire qui est Cléopâtre. Sincèrement. D’ailleurs, on ne peut jamais dire qui sont les gens de l’Antiquité. » – Maurice Sartre

Cléopâtre ne m’a jamais ennuyé et je me suis dit qu’on pouvait – enfin, je crois – sortir des sentiers battus. » – Maurice Sartre

Maurice Sartre vient de publier « Cléopâtre, un rêve de puissance » aux Éditions Tallandier, résultat de ses recherches sur la grande reine.

[Entretien] Quand Antoine rencontre Cléopâtre…

Après l’assassinat de César le 15 mars 44, Cléopâtre quitte Rome et regagne son royaume. Rome plonge alors une fois de plus dans une guerre civile, qui oppose cette fois-ci les assassins de César à ses héritiers, parmi lesquels Antoine. Cléopâtre adopte alors une attitude attentiste… tout en donnant l’impression d’être du côté des Césariens.
La suite de l’histoire nous est racontée par Maurice Sartre, historien spécialiste du Proche-Orient.

Dans quelles circonstances Cléopâtre rencontre-t-elle Antoine ?
En quoi la politique d’Antoine a-t-elle une dimension religieuse ?

L’intégralité de mon entretien avec Maurice Sartre sera disponible en cliquant ici.

Maurice Sartre vient de publier « Cléopâtre, un rêve de puissance » aux Éditions Tallandier, résultat de ses recherches sur la grande reine.

[Visite privée] L’Amour au Louvre-Lens

Exposition « Amour »
26 septembre 2018 ‐ 21 janvier 2019
Musée du Louvre-Lens

Peintures de Fragonard ou Delacroix, sculptures de Rodin ou Canova, statues d’Égypte ou de la Rome antique : la nouvelle exposition du Louvre-Lens propose de découvrir une histoire des relations amoureuses, depuis Adam et Eve jusqu’à la quête de liberté au 20e siècle.
Suivez Zeev Gourarier, directeur scientifique et des collections du Mucem et commissaire de l’exposition, parmi les 7 chapitres de cette histoire des manières d’aimer.

Adoration, passion, galanterie, libertinage, romantisme

L’exposition montre comment, partant d’une stigmatisation du féminin, chaque époque a réhabilité successivement la femme, l’amour, la relation, le plaisir et le sentiment, pour aboutir à l’invention de l’amour libre.

Musée du Louvre-Lens
99 Rue Paul Bert
62300 Lens

Suivez le Louvre-Lens sur son compte Twitter : @MuseeLouvreLens