[Chef-d’œuvre] « Mars et Vénus » de Nicolas Poussin
Le caractère vaudevillesque de la composition est très inhabituel chez Poussin. En effet, Vénus se moque de son amant en suggère qu'il est lui-même cocu.
[Chef-d’œuvre] Le Perse vaincu du musée Granet exposé au Louvre
Cette sculpture est présentée dans la salle des Cariatides du Louvre avec le "Gaulois blessé".
Pompée le Grand entre au Louvre
Une acquisition d'un montant de 1,2 millions d’euros réalisée par la Société des Amis du Louvre
[Chef-d’œuvre] Toutânkhamon harponneur
Debout sur un radeau en papyrus, Toutânkhamon lève le bras droit, prêt à frapper avec son harpon.
[Chef-d’œuvre] « Napoléon reçoit l’ambassadeur de Perse » par F-H Mulard
Gwenaëlle Fellinger présente ce tableau et explique la place de l'événement représenté dans l'histoire de la dynastie qajar.
[Chef-d’œuvre] Le mystère des statues qui transpirent
Le musée du quai Branly expose des statues Fang impressionnantes qui brillent et transpirent comme des êtres vivants !
[Chef-d’œuvre] « Le Massacre des Innocents » de Nicolas Poussin
Le cri le plus poignant de toute la peinture française.
[Chef-d’œuvre] « La Mendiante anglaise » par Gustave Doré
A partir de 1868, Gustave Doré explore les divers quartiers de Londres, la "nouvelle Babylone", y compris les quartiers mal famés, de nuit...
[Chef-d’œuvre] « Pêcheur napolitain » par Vincenzo Gemito
Au Salon de 1877, la sculpture de Gemito représentant un petit garçon nu accroupi surprend par son réalisme et attire les visiteurs.
[Chef-d’œuvre] « La Mort de Sardanapale » par Eugène Delacroix
Pour Victor Hugo, cette toile est "si gigantesque qu'elle échappe aux petites vues".
[Chef-d’œuvre] « Jeune guerrier » par Tullio Lombardo et son atelier
Ce saint Georges ou saint Théodore incarne un idéal de beauté juvénile vénitien mis au point par Tullio Lombardo vers 1500.
Le Gaulois captif de l’Hôtel de Sade
Avec ses mains attachées dans le dos, il représente l'image traditionnelle du Gaulois vaincu.
[Chef-d’œuvre] « Le Christ à la colonne » par Eugène Delacroix
Le Louvre présente deux versions prêtées par le musée des Beaux-arts de Dijon et par le musée des Beaux-arts d'Ottawa.